Georges Dussaud, photographe voyageur, a sillonné l’Inde à de nombreuses reprises, captant en noir et blanc les Indiens dans leur quotidien, des rues grouillantes de Calcutta, de Bénares, jusqu’aux rivages du Kerala. Dans L’odeur de l’Inde, ses images sont mises en regard des mots du grand auteur italien, écrits lors d’un périple avec Alberto Moravia et Elsa Morante. Son texte n’est pas vraiment un récit, mais le fruit de ses errances nocturnes, où la grande misère côtoie la plus étrange des spiritualités, aux confins d’une humanité primitive.
Georges Dussaud, photographe voyageur, a sillonné l’Inde à de nombreuses reprises, captant en noir et blanc les Indiens dans leur quotidien, des rues grouillantes de Calcutta, de Bénares, jusqu’aux rivages du Kerala. Dans L’odeur de l’Inde, ses images sont mises en regard des mots du grand auteur italien, écrits lors d’un périple avec Alberto Moravia et Elsa Morante. Son texte n’est pas vraiment un récit, mais le fruit de ses errances nocturnes, où la grande misère côtoie la plus étrange des spiritualités, aux confins d’une humanité primitive.