Autobiographie exemplaire, parfait équilibre d’ambition (au sens noble du terme) et de modestie, Le Sel et la cendre, œuvre intériorisée mais ouverte sur le monde, se lit comme on écoute une symphonie. Sens de la nuance, souci de la vérité, constante quête de l’harmonie, telles sont les caractéristiques de ce livre subtile oscillant entre l’inquiétude et la plénitude.
Marcel Raymond naquit en 1897 à Genève où il vécut et enseigna la littérature à l’Université. Il est, avec Albert Béguin, à l’origine de l’école critique genevoise considérée comme celle des critiques de la conscience. Son essai capital, De Baudelaire au surréalisme, sensibilisa et modifia le regard d’une génération de lecteurs sur cette période charnière de la littérature française. Vers la fin de sa vie, il s’adonna à la poésie (Poèmes pour l’absente) et à des textes d’inspiration autobiographique dont Le Sel et la cendre est le plus représentatif. Marcel Raymond nous quitta en 1981.
Autobiographie exemplaire, parfait équilibre d’ambition (au sens noble du terme) et de modestie, Le Sel et la cendre, œuvre intériorisée mais ouverte sur le monde, se lit comme on écoute une symphonie. Sens de la nuance, souci de la vérité, constante quête de l’harmonie, telles sont les caractéristiques de ce livre subtile oscillant entre l’inquiétude et la plénitude.
Marcel Raymond naquit en 1897 à Genève où il vécut et enseigna la littérature à l’Université. Il est, avec Albert Béguin, à l’origine de l’école critique genevoise considérée comme celle des critiques de la conscience. Son essai capital, De Baudelaire au surréalisme, sensibilisa et modifia le regard d’une génération de lecteurs sur cette période charnière de la littérature française. Vers la fin de sa vie, il s’adonna à la poésie (Poèmes pour l’absente) et à des textes d’inspiration autobiographique dont Le Sel et la cendre est le plus représentatif. Marcel Raymond nous quitta en 1981.