En 1885, l'officier de marine Julien Viaud arrive à Nagasaki. Son double en littérature, Pierre Loti, tire de ce séjour Madame Chrysanthème, l'une des oeuvres les plus étonnantes du japonisme qui marqua si fort la fin du XIXe siècle. C'est en lisant ce livre-là que Vincent van Gogh, admirant les descriptions d'intérieurs japonais, s'exclama : « Ah ! c'est donc comme ça qu'il faut regarder une japonaiserie ».
En 1885, l'officier de marine Julien Viaud arrive à Nagasaki. Son double en littérature, Pierre Loti, tire de ce séjour Madame Chrysanthème, l'une des oeuvres les plus étonnantes du japonisme qui marqua si fort la fin du XIXe siècle. C'est en lisant ce livre-là que Vincent van Gogh, admirant les descriptions d'intérieurs japonais, s'exclama : « Ah ! c'est donc comme ça qu'il faut regarder une japonaiserie ».